Ambroise Rosel

Ambroise Rosel
Prénom	Ambroise
Nom	Rosel
Parti politique	Parti du bon sens
Statut	Mort.
Fonctions	Premier vice-président de l'Assemblée Nationale, Ministre de la Justice, garde des sceaux, Ministre des Armées et des Affaires Etrangères, Premier ministre

Ambroise Rosel est un homme politique français, ancien Premier ministre, ancien président et fondateur du Parti du bon sens, ancien président du Rassemblement pour la France, ancien garde des sceaux, ministre de la Justice, ancien ministre des Armées et des Affaires Etrangères et ancien premier vice-président de l'Assemblée Nationale.

Biographie

Ambroise Rosel, fut l'un des quatre membres fondateurs du Rassemblement pour la France, avec Stéphane Irtimid, Chris Jacobin et Jérôme Bonaparte-Prince Napoléon. Il fut nommé par Jean Jaurès, premier vice-président de l'Assemblée Nationale. Lorsque le gouvernement Vidalos fut formé, il devint ministre de la Justice, garde des sceaux. Il eut cependant peu l'occasion de faire quoi que ce soit, de telle sorte que sa seule décision, fut de rejeter la demande d'extradition de Guy Hillotine.

Lors de la formation du gouvernement Bonaparte, Ambroise Rosel, devint ministre des Armées et des Affaires Etrangères. Après l'élection de Jérôme Bonaparte-Prince Napoléon à la présidence de la République, Ambroise devint Premier Ministre. Lorsque le ministre de la Justice, garde des sceaux, Jean Jaurès, décida d'utiliser l'article 40 de la Constitution, pour faire assigner à résidence l'ensemble des membres du Comité d'Actions Anti-Bolchéviks, il le soutint, face à ses détracteurs, dans le journal de l'Elysée. Un débat l'opposa à Francis Roffin et il déposa un amendement, visant à créer une commission d'enquête spéciale, sur l'Affaire des renvois de la Banque de France. Quelques jours plus tard, il prononça à l'Assemblée Nationale, une phrase qui resta dans les mémoires et qui ruina par la même occasion sa carrière : "Je revendique le droit à l'adultère", ce qui conduisit à la chute de son gouvernement et à la fin de sa carrière politique, car suite à cela 3 membres du gouvernements démissionnèrent et le Rassemblement pour la France eut des scissions. Rosel lui-même démissionna et quitta la vie politique.

Ambroise Rosel, meurt, lors d'une manifestation, le 28/11/2020, tué par des policiers.