Le parti de la connerie a été crée le 20 juillet 2020 par Marcel Débilus'[[1]]'
Il s'agit d'un parti sans programme politique se revendiquent de la connerie et refusant toute forme de clivage gauche/droite, ces idées sont celles de son président de parti le député Marcel Débilus [[2]]
Depuis la révolution contre le gouvernement du président Buisness, le parti de la connerie c'est prononcé par la voix de marcel débilus en faveur de la révolution et des révolutionnaires.
De nombreux observateurs dont Médiaporte ou le nouveau syndicalisme placent marcel débilus comme une figure d'extrème gauche, voire un anarchiste. Cependant après le renversement du président Buisness JR, marcel débilus est nommé président par intérim ce amène le parti de la connerie a avoir une place médiatique plus importante suite à quoi le parti à fait voté la loi sans nom qui reprenait les exigences révolutionnaires et a organisé des élections présidentielles et de l'assemblée nationale.
L'une des proposition que marcel débilus son président à faite lors de son mandat était de supprimer le gouvernement pour revenir à une démocratie parlementaire, choix beaucoup contesté à gauche comme à droite, le principale opposant à Débilus est Loup Vrier qui constitue un front anti-débilus et parvient a déposer une motion de censure contre lui.
Opposition à Loup Vrier et au renouvellement de la gauche[]
Le parti de la connerie est devenu hostile vis à vis de Loup Vrier suite à la destitution de débilus, mais aussi les détournements de fonds qu'il a fait en faveur de la milice nazi SS, mais aussi lorsqu'il a annoncé qu'il voulait truquer les élections dans un enregistrement publié par ravachol.
Le parti de la connerie se présente donc comme un groupe d'opposition au parti du renouvellement de la gauche.
Opposition avec la droite et au Buisnesslandisme[]
Le parti de la connerie est ouvertement favorable au pouvoir du peuple et des plus démunis et contre la bourgeoisie et le patronat, il est donc très opposé à la droite qui le considère comme un communiste et n'hésite pas à traité les membres du parti de communistes.